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G. Aho

Semaine 17 : Ce n'est pas fini ...

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Eh oui, quelques jours de plus pour nous faire parvenir votre contribution. Et il n’est pas trop tard puisque la date de clôture a été fixée au dimanche 3 mars 2019. Il est encore temps. Pour cette dernière ligne droite revenons au principe de notre concours : écrire comme Mario, puisqu’une lettre inachevée a été retrouvée près de sa dépouille sous la grotte de la vierge noire… Entre imagination et réalité, il y a tout un monde… Mario a-t-il vraiment existé ? Comment et dans quelles conditions son histoire est arrivée jusqu’en 2018 alors que la période de l’esclavage s’est achevée en décembre 1948 avec la proclamation de Sarda Garriga… Si la première partie de sa missive retrouvée a été imaginée (la réalité ne semble pas loin). Le premier paragraphe de la lettre reste la fondation de la construction littéraire. Tout est là. Ces premières phrases résonnent forcément en chacun de nous. « Mon pays fait vingt et un centimètre de large, sur vingt-neuf de long : une feuille de papier blanc » disait l’écrivain-poète français Christian Bobin. Ce à quoi Joseph Messinger, l’écrivain belge lui répondit : « Ce qui me paraît aussi étroit qu’une peau de chagrin. Mon pays à moi est aussi vaste que mon imagination »… Entre fiction et réalité, entre la page blanche et votre imagination à chacun d’écrire à sa manière ! Écrire pour vous ou pour les autres ? Là encore à vous de choisir ! Un dernier conseil : le plus évident est de se baser sur ce qu’on connaît ! PRINCIPE Une lettre retrouvée près de sa dépouille sous des bougainvilliers. Il tenait dans une main une petite Vierge Noire. La lettre commence ainsi. Je suis Mario. J’avais 13 ans. Je vivais heureux dans mon village là-bas. J’ai été capturé par des hommes méchants. Je suis arrivé à Bourbon au fond d’un navire qu’ils appellent négrier… J’entends des chiens aboyer, les chasseurs sont à ma recherche. Il faut que je vous raconte….



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